Le parc immobilier non-résidentiel comprend l’essentiel des établissements de soins et de santé, d’éducation, mais aussi les établissements à caractère sportif et culturel, les commerces, ou encore les bureaux et administrations. Le volume du parc immobilier existant est plus important que le volume de constructions neuves. Et, selon le Ministère de l’écologie et de la transition énergétique, une large moitié de ces bâtiments existants a été réalisée avant 1980.
Dans le domaine du bâtiment, l’air du temps est donc aux opérations de rénovation ou de réhabilitation. Plusieurs facteurs concourent à cette situation, de la raréfaction du foncier constructible disponible aux pressions financières et réglementaires de plus en plus contraignantes, pour la maîtrise d’ouvrage comme pour la maîtrise d’œuvre.
Dans ce contexte la perspective d’une accélération des opérations de réhabilitation ne laisse planer aucun doute. La réalisation de ces réhabilitations est d’autant plus délicate qu’elle s’opère en milieux occupés. Ceci entraîne des problématiques liées au maintien de l’exploitation, de l’utilisation et de l’occupation des différents établissements concernés.
Etablissements recevant du public (ERP) : un parc immobilier important mais vieillissant
La surface du parc immobilier tertiaire existant, toutes branches d’activités confondues, était estimée à 922 millions de mètres carrés en 2010. Les bureaux et administrations, les établissements d’enseignement et de recherche, les commerces occupant à eux seuls 64 % de cette surface à proportions pratiquement égales. Toujours selon la même source publique, la plupart des bâtiments tertiaires existants ont été construits avant 1980[1].
Avec les nécessaires opérations d’entretien des locaux, de nombreuses opérations de réhabilitation sont d’ores et déjà rendues nécessaires par les différentes mises aux normes que la loi impose.
Si cesser toute exploitation ou occupation de ces bâtiments pendant les opérations de réhabilitation paraît impossible, a contrario maintenir leur exploitation et leur occupation constitue un enjeu humain, économique et logistique de taille.
Car, rappelons-le, un chantier est strictement interdit à toute personne qui y est étrangère.
JELD-WEN simplifie la réhabilitation des menuiseries en milieu occupé
C’est pour répondre au double enjeu de maintien de l’exploitation et de l’occupation des lieux tout en s’inscrivant dans le contexte réglementaire que JELD-WEN a développé une gamme complète de blocs-portes conçus pour les opérations de réhabilitation en milieu occupé.
La rapidité de pose et l’universalité des menuiseries JELD-WEN fait ici toute la différence. Nos blocs-portes de réhabilitation se posent en moins d’une heure. En effet, nos menuiseries sont compatibles avec tous les types d’huisseries, qu’elles soient en métal, en bois dur ou en bois de résineux.
Pour autant, la rapidité de pose des blocs-portes de réhabilitation JELD-WEN ne cède rien aux exigences réglementaires en matière d’accessibilité, de sécurité, de confort acoustique et thermique.
Ainsi, la gamme de blocs-portes de réhabilitation JELD-WEN décline des modèles :
- étanches aux flammes et aux gaz inflammables pendant 30 minutes (EI30),
- qui présentent des performances acoustiques s’échelonnant de 29 dB à 42 dB,
- qui garantissent des performances thermiques et de stabilité.
Choisir de mettre en œuvre les blocs-portes de réhabilitation JELD-WEN permet de maintenir l’utilisation, l’exploitation et l’occupation des établissements concernés.